
RÉTROSPECTIVE
THE TIMEKEEPER (L'HEURE DE VÉRITÉ)
Réalisation
Louis Bélanger
Interprètes
Craig Olejnik, Gary Farmer et Stephen McHattie
Production
Coop Vidéo de Montréal
Scénario
Louis Bélanger / Lorraine Dufour
Distribution
Les Films Séville
Ce film de la rétrospective de Louis Bélanger n’est pas inclus dans le passeport en ligne.
1964. Martin Bishop a dix-huit ans. Son père, mort récemment, lui a laissé pour tout héritage une bonne éducation et des principes moraux. Le jeune homme décroche un travail comme pointeur sur un chantier situé en plein coeur des Territoires du Nord-Ouest. Au milieu de la forêt, sous la gouverne d’un contremaître tyrannique, on y construit un bout de chemin de fer. 52 milles en 52 jours : un exploit. Dans ce camp isolé d’où on ne peut s’échapper, la corruption règne. Les travailleurs n’osent pas se plaindre. Mais Martin ne voit pas les choses de la même manière...
L'avis de CINEMANIA :
Adapté du roman éponyme de l’écrivain canadien Trevor Ferguson, THE TIMEKEEPER a été tourné en anglais pour respecter la langue originale du récit, ses spécificités et son ton. Réalisé dans des conditions difficiles en plein coeur de la forêt au nord de Port-Cartier et à Sept-Îles, le film est porté avec brio par des interprètes exclusivement masculins. En défenseur du bien, le jeune Craig Olejnik est une révélation. Son opposant, interprété par Stephen McHattie (PONTYPOOL, MAURICE RICHARD, DREAMLAND), incarne le mal. Un western canadien embrassant les grands espaces naturels qui tranche avec les univers urbains des films précédents de Louis Bélanger. Encore trop méconnue, THE TIMEKEEPER une oeuvre très réussie.
1964. Martin Bishop a dix-huit ans. Son père, mort récemment, lui a laissé pour tout héritage une bonne éducation et des principes moraux. Le jeune homme décroche un travail comme pointeur sur un chantier situé en plein coeur des Territoires du Nord-Ouest. Au milieu de la forêt, sous la gouverne d’un contremaître tyrannique, on y construit un bout de chemin de fer. 52 milles en 52 jours : un exploit. Dans ce camp isolé d’où on ne peut s’échapper, la corruption règne. Les travailleurs n’osent pas se plaindre. Mais Martin ne voit pas les choses de la même manière...
L'avis de CINEMANIA :
Adapté du roman éponyme de l’écrivain canadien Trevor Ferguson, THE TIMEKEEPER a été tourné en anglais pour respecter la langue originale du récit, ses spécificités et son ton. Réalisé dans des conditions difficiles en plein coeur de la forêt au nord de Port-Cartier et à Sept-Îles, le film est porté avec brio par des interprètes exclusivement masculins. En défenseur du bien, le jeune Craig Olejnik est une révélation. Son opposant, interprété par Stephen McHattie (PONTYPOOL, MAURICE RICHARD, DREAMLAND), incarne le mal. Un western canadien embrassant les grands espaces naturels qui tranche avec les univers urbains des films précédents de Louis Bélanger. Encore trop méconnue, THE TIMEKEEPER une oeuvre très réussie.
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⇢ Sao Paulo International Film Festival, Brésil, 2009.
⇢ Shanghai International Film Festival, Chine, 2009.
⇢ Brooklyn International Film Festival, États-Unis, 2009.
⇢ Shanghai International Film Festival, Chine, 2009.
⇢ Brooklyn International Film Festival, États-Unis, 2009.