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Vincent Delerm filme anonymes ou amis·es artistes et évoque avec eux leur définition de l’amour et de la passion. Quelques années après son premier film documentaire, déjà une exploration du Sentiment dans son sens le plus littéral, Vincent Delerm prolonge sa dissertation sur l’amour, ses vertiges, ses multiples interprétations. On retrouve ici la verve poétique des textes de ses albums, avec une image qu’on croirait empruntée à La Peau douce de Truffaut et qui correspond parfaitement aux mots (et aux maux) du poète. Le film permet aussi une approche philosophique sur la question cinématographiquement universelle : « Faut-il vivre fort et vite, ou longtemps mais au ralenti ? »
Éligible au
Prix Planète + du Meilleur Documentaire