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Selma a fui la Syrie après la disparition de son mari emprisonné par le régime dictatorial, et a dû laisser derrière elle son fils, dont elle ne voulait pas risquer la vie. En arrivant à Bordeaux, alors qu’elle cherche à se reconstruire et à trouver le moyen de faire venir son fils, elle rencontre un avocat qui lui redonne espoir. Le second film de Gaya Jiji, après Mon tissu préféré, donne un nouveau regard sur le parcours de ces femmes qui n’abandonnent jamais leur lumière. Grand essai cinématographique sur l’identité et la résilience, l’actrice Zar Amir Ebrahimi est le vecteur solaire du message de la cinéaste. D’une actualité sidérante.
